Combien gagne un professeur des écoles, d’une institutrice ?

En France, les professeurs sont nombreux et derrière se métier se cache parfois des vérités que l’on ne connaît pas. Les profs font souvent fantasmer pour leurs horaires de rêves et le nombre de congé qu’ils ont en comparaison du secteur privé. Et pourtant, à part cet avantage, on ne connaît pas vraiment les barèmes qui régissent la profession et si celle-ci est si bien payée que cela. Alors, combien gagne un professeur des écoles ? Et son salaire évolue-t-il en fonction de sa carrière, de son lieu de travail ou encore du degré d’enseignement dans lequel il exerce sa profession ?

Professeur des écoles, le plus beau métier du monde

Un professeur des écoles enseigne dans les écoles maternelles et élémentaires. Cela veut dire que ses élèves ont entre 2 et 11 ans, ce qui couvre la période entre la maternelle et le CM2. Il s’agit clairement d’une tranche d’âge où tout est à faire et tout est à enseigner. Alors, mieux vaut qu’il s’y prenne correctement pour que nos têtes blondes soient bien remplies et puise aborder le collège et le lycée sereinement avant d’embrayer vers l’université. Car, s’il existe un moment où il ne faut pas prendre de retard, c’est bien quand on est tout petit.

D’ailleurs, de nombreuses études, menées dans différents pays et par différents organismes publics et privés, ont toutes démontré qu’au plus tôt commençait l’apprentissage, au mieux l’enfant retenait la matière et se développait rapidement.

C’est sur base de ce postulat qu’il est souvent conseillé de mettre ses enfants dès le plus jeune âge dans un enseignement d’une autre langue ou que de nouvelles méthodes d’apprentissage apparaissent.

Entre 2 et 11 ans, c’est la période de notre vie pendant laquelle on apprend le plus. On apprend à lire, à écrire, à calculer, mais aussi à interagir avec le monde et dans la société. Des enseignements de base qui sont apporté par l’instituteur ou institutrice.

Que fait-on en maternelle ?

La maternelle est le lieu où l’enfant s’initie au monde. Il n’y a pas vraiment d’apprentissage fixe, même si des programmes annuels sont élaborés. Ici, c’est avant tout l’initiation au monde, apprendre à l’enfant à découvrir ce qui l’entoure. Et cela passe par tout ce qu’il est possible d’imaginer : les saisons, les jours de la semaine, les lettres, les chiffres, etc.

Ces initiations aux chiffres et aux lettres ne se font pas lors de cours magistral. Les enfants sont trop petits et l’attention est de courte durée. Pour amener l’enfant à apprendre et à intégrer la matière, l’enseignant doit faire preuve d’imagination et proposer des jeux ou des activités ludiques pour que les enfants puissent apprendre plus facilement. Par exemple, associer des jours aux couleurs de l’arc-en-ciel, etc.

Avec l’aide d’autres intervenants, comme des personnes spécialisées ou des experts en didactique, l’enseignant peut proposer d’autres activités pour aller plus loin. C’est le cas avec des cours de langues étrangères, avec la musique, la psychomotricité, ou encore l’informatique pour les plus branchés.

Qu’apprend-on à l’école élémentaire ?

A l’école élémentaire, l’élève passe à un autre niveau. On le considère plus grand et il est censé pouvoir faire preuve de plus d’attention. Les activités sont moins ludiques et sont souvent remplacées par des cours en classe. Même s’il existe des moments de pause, des cours de gym, des activités, etc. L’enfant y entre à 6 ans et y reste jusqu’à ses 11 ans.

L’école élémentaire est là pour pourvoir à l’éducation générale et pour apprendre les bases de la lecture, de l’écriture, du calcul, etc. Des bases qui se transforment d’année en année en acquis et qui sont approfondis à chaque fois un peu plus.

Les élèves y apprennent la lecture, l’écriture, l’histoire-géographie du pays, le calcul, les sciences. Ils reçoivent aussi des cours d’éducation sportive, artistique et civique.

A nouveau, il est possible de faire appel à des externes pour seconder le professeur des écoles dans certaines matières comme l’informatique, la musique, etc. C’est aussi l’occasion pour les enfants de rencontrer d’autres personnes, passionnées par un métier ou une activité et qui partagent cette passion et essayent de la transmettre.

Quel est le rôle du professeur des écoles ?

Le professeur des écoles est un peu une personne à tout faire, une sorte d’homme ou de femme orchestre qui jongle entre les différentes matières. Tout cela pour apprendre aux élèves les bases pour construire son éducation. C’est aussi lui qui donne la bonne méthode de travail, pour que l’enfant gère correctement son temps, et qui lui apprend les règles de la vie sociale.

Aujourd’hui, l’éducation se veut moins magistral, moins verticale et fait la part belle aux initiatives qui visent à aider les enfants en difficulté. Quand c’est possible, les classes sont divisés en petits groupes pour que l’apprentissage se fasse plus en douceur et qu’il soit moins dur.

Pour les enfants en difficulté, l’institutrice trouve des solutions, propose une autre méthode d’enseignement, etc. Tout cela se fait sur le temps libre et sur le temps de préparation pour que l’enfant ne soit pas obligé de suivre des cours supplémentaires.

Quel est le rythme de travail d’une institutrice / d’un instituteur ?

Un professeur des écoles a un temps de travail de 26 heures par semaine. Un temps qui est passé en classe avec les élèves. A cela s’ajoute une heure de concertation  consacrée aux conseils d’école obligatoires et à des travaux avec l’équipe pédagogique de l’établissement.

A côté de ce qui est obligatoire, l’instituteur passe également beaucoup de temps à préparer ses cours, à corriger les copies et à répondre à divers problèmes. Mine de rien, cela prend du temps et les heures passent, alors qu’elles ne sont pas rémunérées.

Chaque année amène son lot d’enfants difficiles qu’il faut gérer différemment. Cela veut dire : trouver une méthode d’enseignement plus adaptée ou revoir des exercices afin que l’enfant en difficulté puisse reprendre pied et continuer d’avancer avec ses petits camarades. Il faut aussi répondre aux demandes des parents, les recevoir après les cours si nécessaire, etc.

Le rythme de travail est donc très dur, même si au premier abord, il semble fort léger et simple. C’st un métier qui a besoin d’une grande rigueur et dans lequel il faut faire preuve de patience, de pédagogie tout en sachant s’adapter aux nouvelles situations.

Comment devenir professeur des écoles ?

Pour devenir professeur des écoles, il n’y a qu’une seule solution… Suivre une formation et obtenir son diplôme dans l’enseignement.

L’étudiant qui désire devenir professeur des écoles doit faire son choix en fin d’année et il recevra une convocation par une université qui est prête à l’accueillir. La formation en tant telle dure 5 ans et embrasse tous les aspects de la profession afin de former au mieux le futur instituteur et la future institutrice.

Durant ces 5 années, on enseigne à l’étudiant les différents cours qu’ils devront transmettre et la méthode par laquelle ils devront les transmettre. Cela fait partie des cours qu’on appelle les cours de didactique et qui axe leur enseignement sur la bonne méthode pour apprendre une nouvelle matière.

En tant qu’adulte, ou jeune adulte pour un étudiant, il y a beaucoup de choses que l’on considère comme acquises ou existantes de fait. Les restituer est parfois difficile, surtout quand il s’agit de choses simples. Et encore plus quand on doit s’exprimer avec des mots d’enfants de 7 ou 8 ans qui n’ont pas encore accès au même vocabulaire que les adultes. C’est là qu’interviennent les cours de didactiques en donnant les clés d’un apprentissage réussi.

Outre ces cours théoriques, il existe aussi des exercices pratiques et de mise en situation qui permettent à l’étudiant de mettre en pratique ce qu’il vient d’apprendre. Cela se couronne par des stages en école où il sera confronté à la réalité du terrain. Les stages sont supervisés par le professeur des écoles qui les accueillent et par un maître de stage qui évalue la qualité du stage.

En fin de parcours, la formation est sanctionnée par un diplôme d’Etat. Pour devenir professeur des écoles, il faut s’inscrire en master MEEF (master de l’enseignement, de l’éducation et de la formation. Il s’agit d’un diplôme spécialisé qui est accessible après avoir terminé une licence. Il se destine aux étudiants qui veulent devenir profs dans une écoles. Le MEEF est organisé par les ESPE.

En théorie, suivre un bac généraliste, puis un master MEEF est tout à fait faisable.

Comment accéder au métier ?

Mais cela ne permet pas de devenir professeur des écoles. Pour cela, il faut d’abord passer un concours de recrutement pour les professeurs des écoles, le CRPE. Ce dernier est uniquement organisé par le ministère de l’Éducation Nationale.

Ce concours permet aux personnes qui le réussissent de devenir professeur des écoles, mais le nombre de places est limité. Par exemple, en 2014, seuls 8.044 postes étaient à pourvoir. Les étudiants inscrits en M1, M2 et les titulaires d’un Master (bac +5) peuvent s’inscrire au concours. Mais les étudiants n’ayant pas encore leur diplôme ne pourront être titularisés que lorsqu’il seront sanctionnés de leur diplôme.

A côté de ce concours, il existe un second concours. Interne, cette fois. Il permet aux agents de la fonction publique d’entrer dans l’enseignement.

Enfin, certaines personnes extérieures à la fonction publique peuvent également accéder à ce métier, pour autant qu’elles répondent à certains critères et qu’elles passent un troisième et autre concours.

Quelles sont les évolutions de carrière ?

En tant que tel, il n’existe pas vraiment de possibilités d’évolution dans la carrière d’un professeur ou d’un instituteur. Une fois qu’on a été nommé au poste, on peut le rester jusqu’à la pension. Néanmoins, il y a des opportunités d’évolution vers d’autres postes et donc vers de nouvelles fonctions.

Un professeur des écoles aguerri peut ainsi devenir un encadrant et former les nouveaux professeurs et les étudiants en devenir.

De même, il peut rejoindre la fonction publique du Ministère et se lancer dans l’évaluation des professeurs en tant qu’inspecteur. Il peut le faire après avoir passé 5 ans dans l’enseignement.

Il peut aussi devenir directeur d’école. Mais pour cela, il doit d’abord avoir exercé son métier pendant un minimum d’année. Les premières conditions à remplir, c’est d’avoir exercé pendant 3 ans et d’être inscrit sur une liste d’aptitude. Mais il faut aussi se dire que gérer une équipe et un établissement scolaire, avec tout ce que cela comprend, n’est pas facile. Il vaut donc mieux suivre des formations en gestion du personnel et en management pour mettre toutes les chances de son côté. Le personnel d’une école dépasse rapidement la cinquantaine, voire la centaine, d’instituteurs et d’institutrices. Un nombre important de personnes qu’il faut contenter et avec qui il faut composer au quotidien pour que l’établissement reste bon.

Enfin, si le cœur lui dit, le ou la professeur des écoles peut se diriger vers l’enseignement spécialisé ou devenir conseiller d’orientation-psychologue. Ce sont deux postes qui nécessitent des certificats complémentaires. Dans le premier cas, l’institutrice doit avoir un Capa-SH, c’est-à-dire un certificat d’aptitude professionnelle pour les aides spécialisées. Dans le second cas, l’institutrice doit posséder une L3 en psychologie et un diplôme d’Etat de psychologie scolaire et avoir au moins 3 ans d’expérience.

Quelles conditions de travail pour une institutrice ?

Le métier d’institutrice est un métier qui reste au beau fixe. Chaque année, de nouveaux enseignants sont engagés et même si le gouvernement annonce des coupes budgétaires, il n’en reste pas moins qu’il faut remplir les classes. De plus, c’est un emploi de la fonction publique qui possède une sécurité de l’emploi certaine. Les personnes en poste ne risquent pas de bouger, à moins d’avoir une possibilité d’évolution et les postes ouverts chaque année dépendent du budget alloué par le Ministère (c’est là que se font les économies).

Une fois en poste et nommé, le travail reste intéressant et motivant. Et permet à ceux qui veulent voir du pays de partir en province ou outre-mer (il existe des mécanismes d’aide pour cela). En plus de cela, un passage dans l’enseignement spécialisé ou dans l’accompagnement des enfants est toujours possible moyennant le suivi d’une formation.

L’affectation de l’institutrice est également très sûre par rapport à ses collègues du secondaire. Ainsi, le professeur des écoles démarre toujours sa carrière dans l’académie où il a passé son concours. Ce qui lui confère l’avantage de pouvoir choisir la région où il veut travailler et vivre. A contrario, les enseignements du secondaire sont généralement nommé en région parisienne ou dans le nord de la France. Ce n’est qu’après quelques années qu’il leur est possible de demander une mutation vers une autre région.

Dans sa classe, l’institutrice comptera entre 20 et 30 enfants. Mais si elle se trouve dans une école avec peu d’enfants, elle peut se voir attribuer une classe fusionnée, ce qu’on appelle une classe double-niveau. C’est parfois le cas en zone rurale où plusieurs classes sont réunies ensemble. Durant son temps de classe, l’enfant passe autant de temps avec elle qu’avec ses parents à la maison. Il est donc très important qu’elle lui apporte des repères et qu’elle lui permette de se socialiser avec les autres enfants. C’est aussi à l’institutrice de faire attention aux petits signes qui pourraient montrer un souci chez l’enfant dans son développement.

Quel est le salaire d’une institutrice ?

Le salaire d’un instituteur dépend d’un barème national fixé par le gouvernement et le Ministère de l’Education Nationale.

Ce système de barème permet d’avoir une égalité des salaires entre tous les profs. Il vise aussi à indiquer clairement ce que l’on gagnera et quand on le gagnera dans sa carrière. Mais dans la réalité des faits, il existe beaucoup de disparités entre les mieux payés et les moins bien lotis. Et on peut dire que souvent, ce sont les hommes qui ont les postes les mieux payés.

Si l’on reprend les chiffres du Ministère de l’Education Nationale, les professeurs représentent 845 000 emplois à l’heure actuelle et la rémunération moyenne est de 2 469 € par mois.

Mais cette rémunération moyenne est l’arbre qui cache la forêt. La fourchette des salaires va de 1 660 € à 7 000 €, en fonction de l’ancienneté acquise et du milieu scolaire où on travaille.

Il faut également noté que ce chiffre englobe tous les professeurs et pas uniquement les instituteurs. Or, un professeur agrégé ou certifié qui enseigne uniquement au lycée gagne bien mieux sa vie qu’un professeur des écoles.

En fait, le professeur des écoles est celui qui gagne le moins par rapport à ses collègues du collège et du lycée. Il évolue sur l’échelon le plus bas. Notamment parce qu’il enseigne des matière généraliste (un enseignement général), contrairement à ses collègues qui n’opèrent que dans une seule branche et sont considérés comme des spécialistes.

Quelle rémunération exacte pour un professeur des écoles?

En fonction de l’ancienneté qu’il possède, le salaire de l’instituteur ira de 1 584 € en début de carrière à 3 030 € en fin de carrière.

Comme stagiaire en début de carrière, le montant de la rémunération est de 1 584 € nets par mois. Puis, au fil des ans et des échelons barémiques, le salaire évolue. Au bout de  10 ans, il atteindra la barre des 2 000 €, puis des 2 500 € après 20 ans de carrière. Lorsqu’il arrive au bout de l’échelle barémique, après 30 ans, sa rémunération est comprise entre 2 545 € et 3 030 euros en fonction d’autres facteurs.

Existe-t-il des indemnités complémentaires à la rémunération ?

Il existe en effet un régime d’indemnités qui vient gonfler la rémunération de l’enseignant en fonction des cas. Cela peut représenter un joli complément salarial.

• Pour les professeur qui exerce leur métier en ZEP, en Zone d’Education Prioritaire, le Ministère de l’Education Nationale octroie une prime. Cette prime vise à compenser sur le plan salarial la pénibilité du travail dans ces zones par rapport à des zones dites normales. C’est en quelque sorte la récompense pour un travail plus dur. Cela dit, toutes les ZEP ne sont pas des friches éducatives et il est tout à fait possible d’exercer son métier normalement sans se faire agresser.

Actuellement, un professeur des écoles qui enseigne en ZEP perçoit une prime mensuelle de 96 euros. Sur un an, cela revient à peu près à 1 r150 €. Mais c’est bien loin de ce que gagnent ses autres collègues. En effet, un professeur du secondaire, un professeur certifié donc, gagne 117 € chaque mois plus une seconde prime de 100 euros s’il s’occupe de l’orientation de ses élèves.

• En plus de cela, le professeur des écoles peut compter sur une valorisation de ses heures supplémentaires. En effet, il existe des heures supplémentaires dites HSA. Celles-ci sont payées 120 euros, et 129 euros pour les institutrices spécialisées. Mais encore une fois, c’est bien loin de ce que leur collègues de l’enseignement secondaire peuvent avoir. A titre informatif, ces HSA peuvent être payées jusqu’à 169 euros de l’heure.
• Enfin, si l’instituteur assume la fonction de directeur, il est aussi éligible à l’octroi d’une prime pour les fonctions qu’il occupe. Elle est versée mensuellement.

Les bienfaits d’école maternelle bilingue sur l’apprentissage des enfants

Les français sont tristement connus pour ne pas être doués en langue étrangère. C’est pourtant un moyen très fort de s’ouvrir à l’extérieur et d’acquérir des compétences qui peuvent être très utiles dans la vie professionnelle (c’est un atout non négligeable d’être polyglotte actuellement). Il est prouvé qu’il est plus compliqué d’apprendre une langue étrangère une fois adulte.

Au contraire, les jeunes enfants parviennent avec rapidité à comprendre et parler une autre langue que leur langue maternelle. C’est pour cette raison que de nombreux parents, conscients que c’est important, décident de donner des cours à leurs enfants afin qu’ils manient aussi bien le français qu’une autre langue (l’anglais est généralement plébiscité). Pour les personnes soucieuses d’élever des enfants bilingues, une école internationale proposant des cours en anglais et français est une solution toute trouvée. Tout a été conçu pour que l’apprentissage se fasse au mieux, avec une communication étroite entre les enseignants français et les enseignants anglais. A cet âge, les enfants manient rapidement bien les deux langues et captent rapidement les nuances et les accents. La Bilingual School Paris est faite pour vous tant l’enseignement est de qualité pour une ecole maternelle bilingue.

Le but est simple : tout est fait pour que les enfants qui suivent le cursus soient polyglottes. Il pourra ainsi en grandissant manier au moins deux langues différentes à la perfection. Ce type d’enseignement permet aux français d’être bien plus à l’aise qu’ils ne le sont. De ce fait, ils seront bien plus compétitifs sur le marché du travail, notamment à l’étranger. En tant que parents soucieux de voir leurs enfants apprendre une autre langue, ce type d’école est idéale pour vous. Vos enfants y apprendront le programme scolaire donné par l’académie, mais pourront jongler entre deux langues différentes.

Les salaires par métier

• Quel est le salaire d’une esthéticienne ?
• Quel est le salaire d’un chauffeur routier ?
• Quel est le salaire d’un boulanger ?
• Quel est le salaire d’un ambulancier ?
• Quel est le salaire d’un opticien ?
• Quel est le salaire d’un manager ?
• Quel est le salaire d’un cuisinier ?
• Quel est le salaire d’une femme de ménage ?
• Quel est le salaire d’un architecte ?
• Quel est le salaire d’un agent de maîtrise ?
• Quel est le salaire d’une hôtesse de l’air ?
• Quel est le salaire d’un médecin ?
• Quel est le salaire d’un freelance informatique en portage salarial ?
• Quel est le salaire d’un comptable ?
• Quel est le salaire d’un pompier ?
• Quel est le salaire d’un journaliste ?
• Quel est le salaire d’un coach sportif ?
• Quel est le salaire d’une aide-soignante ?
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• Quel est le salaire d’un frigoriste ?
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• Quel est le salaire d’un juge ?
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• Quel est le salaire d’un surveillant pénitentiaire ?
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• Quel est le salaire d’un pilote de ligne ?
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